Le projet stratégique du Gazoduc Afrique Atlantique (GAA) reliant le Nigeria au Maroc a atteint une phase cruciale dans son développement. Lors d’une présentation à l’Atlantic Council de Washington, les avancées majeures du projet ont été détaillées, notamment la mise en service progressive des premiers segments prévue pour 2029.
Une présentation détaillée des avancées du projet à Washington
La présentation du projet s’est déroulée lors d’un événement organisé par le think tank américain Atlantic Council. Le Gazoduc Afrique Atlantique, fruit d’une vision commune entre le roi Mohammed VI et le président du Nigeria, entre désormais dans une phase concrète de réalisation avec des avancées significatives dans sa planification et son développement.
Des progrès « extrêmement favorables » pour le méga-projet
Le projet avance de manière « extrêmement favorable » grâce à l’engagement de l’ensemble des pays traversés. Cette infrastructure majeure représente un investissement stratégique pour la sécurité énergétique régionale et internationale, avec des retombées économiques importantes pour les pays participants.
Un calendrier précis pour la mise en service
La première phase opérationnelle du gazoduc est programmée pour 2029. Cette étape initiale marquera le début d’une mise en service progressive des différents segments du projet, qui vise à connecter les ressources gazières du Nigeria aux pays d’Afrique de l’Ouest et au Maroc.
Impact stratégique pour la région
Le Gazoduc Afrique Atlantique représente un projet structurant pour le développement énergétique du continent africain. Il permettra non seulement de diversifier les sources d’approvisionnement en gaz naturel mais également de renforcer la coopération économique entre les pays africains.
Cette infrastructure énergétique majeure s’inscrit dans une vision plus large de développement régional, visant à créer des synergies économiques et à renforcer les liens entre les pays participants. Le projet contribuera significativement à la sécurité énergétique de la région tout en favorisant l’intégration économique africaine.